Bonjour Monsieur Tarnus,
Mes recherches m'ont conduit à trouver aux archives royales d'Arlon dans la Justice de Grandcourt et Petite Ruette un acte de vente du 15 octobre 1699 entre des consorts JeanJean.
Cet acte est très important pour moi car il stipule que 3 enfants Guiot : Hélène, Jeanne et Lambert viennent en représentation de leurs parents décédés : François Guiot et Philipotte Jeanjean.
Les deux filles Hélène et Jeanne étaient mariées et Lambert mon ancêtre mineur sous tutelle d'un oncle maternel Nicolas CHARLOT.
Jeanne mariée à Christophe MORANT le 30 juin 1699 à Saint-Pancré et décédée le 1er novembre 1706 à Ruette.
Hélène mariée à Jean WILMAIN le 4 novembre 1698 à Saint-Pancré et décédée le 20 octobre 1706 à Ruette.
Le 12 janvier 1701, un acte d'échange avec sa sœur Jeanne, Lambert est qualifié de jeune garçon toujours sous tutelle de son oncle habitant Ruette la Grande. Il cède ses parts et portions d'une maison et étables à Grandcourt et reçoit en contre échange une masure à Saint Remy.
Lambert est parrain de Lambert PETIT le 30 mai 1706 à Ruette.
Lambert se marie avec Catherine Pierre, je trouve un premier enfant à Ruette le 31 août 1707,
5 autres enfants suivront tous nés à Saint Rémy 1713 - 1716 - 1719 - 1723 - 1728.
Lambert décède le 12 février 1743 à Saint Rémy.
Pourriez-vous me donner des pistes de recherche afin de trouver :
- la succession François Guiot et Philipotte Jeanjean
- la mise sous tutelle de Lambert Guiot
- le mariage de Lambert et Catherine Pierre
Restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire et en vous remerciant par avance, bien cordialement
Marc Guillot
Réponse :
Monsieur,
Pour vos recherches dans les villages en Belgique, il faut revoir les archives des aides et subsides et les fonds des justices civiles et criminelles, aux Archives du Royaume à Arlon.
Pour Saint-Pancré, il faut reprendre les archives de la série B aux AD 54 et 55.
Pour les AD 55, ne pas oublier la série Bp.
Cordialement
Aimé TARNUS
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Question
Bonjour,
Je suis issu des HENRION du Pays-Haut. Mon ancêtre le plus ancien référencé est le laboureur censier Pierre HENRION né vers 1679 et décédé le 16 aout 1711 à Ville-au-Montois, marié à Catherine ROLLIN.
Auriez-vous connaissance d'un lien entre les HENRION du Pays-Haut et leurs homonymes de Loisey et Bar-le-Duc ?
Une piste aurait été possible avec l'héraldique. On connait le blason des Henrion de Loisey ("d'or au chevron d'azur accompagné de trois tortues de sable") mais je n'ai pas retrouvé de porteur de ce blason dans le Pays-haut.
Merci d'avance pour votre aide et au plaisir de vous lire,
Quentin HENRION
Réponse :
Monsieur,
Comme vous le savez, votre patronyme vient du prénoms HENRI, donc il est difficile de faire un lien entre le Pays-Haut et Bar-le-Duc à ce sujet.
Vous pouvez consulter les séries B des archives départementales, concernant les actes judiciaires et les actes de successions. Vous pourrez, peut-être faire un lien.
J’ai cherché, encore sur le Pays-Haut, la famille HENRION était surtout attachée à la terre. Aucun membre n’avait reçu de fonction méritant un anoblissement.
Cordialement
Aimé TARNUS
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Question
Bonjour,
Dans l'inventaire de décès du 15.3.1719 à Neuve-Eglise (Bas-Rhin) de Louis Crochard (°~1640, +17.10.1718 à 67220 Neuve-Eglise) il est précisé qu'il est originaire d'un village près de Longwy mais que je n'arrive pas à identifier :
je crois lire Aineson dans le texte (voir ci-après)
« il est à savoir que feu Louis Crochard est natif d' Aineson village près de Longhuy (sic) où il doit avoir plusieurs biens à prétendre à luy eschues des successions de feu ses pères et mères consistant en une maison près jardins et terres labourables où le dit feu Crochard a été depuis environs deux ans (donc en 1716 ou 1717) pour les reperer mais comme les détendeurs et leurs auteurs en sont en possession depuis quarante ans qu il a été absent du pays (donc depuis 1677environ) ils ont fait refus de s'en desister ce qui fut cause qu il est entré en procès avec eux lequel est encore pendant par devant le juge du lieu... »
Peut-être pouvez-vous m'aider à identifier le village d'origine de Louis CROCHARD (le patronyme peut aussi être orthographié différemment) ?
Louis CROCHARD a probablement été marié à Jeanne WILLETTE (sœur de François WILLETTE, curé de Neuve-Eglise, dont il hérite en 1705) dont il a eu plusieurs enfants notamment :
- Jean Baptiste Louis GROCHARD de VILLENCOURT (~1670, +1705), un « docteur en médecine », installé à Bergheim (Haut-Rhin)
- Jeanne mariée successivement à Toussaint NOTTELET, Jean BRANDEBOURG (oo 23.11.1697 à Brognon, Côte d'Or) et à Antoine GAUTIER en 1704.
Louis CROCHARD, leur père s'est remarié le 2.10.1696 à Neuve Eglise avec Marguerite LAMBLé de Provenchères Val de St Dié (Vosges).
Merci de votre retour
Cordialement,
Dominique SPAHN
Réponse :
Monsieur,
J’ai recherché dans tout le Pays-Haut, je n’ai rien trouvé comme village Aineson (D’éneson etc.)
Mais, il y a un autre Longwy (Longwy-sur-le-Doubs), plus proche des Vosges et de l’Alsace, peut-être aurez-vous plus de chance.
Cordialement
Aimé TARNUS
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Question
Bonjour Monsieur Tarnus,
J'espère que vous vous portez bien.
Je ne sais pas si vous vous souvenez de ma recherche concernant mon AAGP CHENOT Augustin qui vous avez donné du fil à retordre en octobre 2023. Je ne l'ai toujours pas retrouvé mais je continue à chercher et j'ai un peu plus d'éléments avec un 2eme AAGP sur Fillières dans la même situation. J'ai une petite question à vous poser : à l'époque aviez-vous penser à faire une recherche par rapport à l'évacuation de réfugiés du à la ligne MAGINOT de la 2nd Guerre Mondiale ?
Ce qui m'amène à cette hypothèse c'est que mon autre AAGP GILSON Charles Marie Eusèbe Ambroise, né à Fillières le 04/12/1871 veuf depuis 1917 a comme dernière trace son recensement en 1936 à Fillières domicilié avec son frère GILSON Antoine Auguste (seuls tous les deux) qui lui fut évacué et réfugié à Loupiac décédé à La Réole en Gironde.
Et pour CHENOT Augustin, né le 06/05/1858 à Gouraincourt, dernière trace recensement de 1936 à Cosnes et Romain avec Madame et deux fils Adrien et Gustave, Madame qui décède en 1938, plus rien cependant pour Augustin après ce recensement mais un de ses fils Gustave né en 1895 fut lui aussi évacué en Gironde mais à Lanton.
J'ai une connaissance qui abrite près de Bordeaux qui a fait les cimetières de Loupiac et La Réole, ils n'y sont pas.
Les mairies de Loupiac et La Réole me dise ne rient avoir les concernant.
Cette connaissance près de bordeaux est allée aux AD de Gironde est à pu consulter des documents concernant les réfugiés mosellans, il ne s'agit que de liste avec les communes de départ et communes de destinations et le nombre de répartition par communes. Ce sont des documents qui émane soit de la préfecture de Gironde.
Les archives de Gironde ne font aucune aide à distance (ils m'ont déjà envoyé gentiment promener).
Nous avons donc avec cette connaissance écrit à toutes les mairies de destination des communes concernée. Pour l'instant 1/3 a répondu dans le négatif, les 2 autres tiers n'ont pas encore répondu. L'une d'entre elle dans laquelle se trouvé le fils de CHENOT Augustin m'a quand même confirmé qu'il y avait bien un camp de réfugiée à l'époque mais que toutes les archives de ce camp sont... aux AD de Gironde. Je les aie donc appelés en expliquant la situation la standardiste m'a dit de mettre un justificatif de domicile pour voir si à titre exceptionnel ils ne peuvent pas faire la recherche vue que la mairie me redirige vers eux, je n'ai pas de réponse.
Pensez-vous que la Préfecture de Meurthe et Moselle puisse avoir établi un listing afin de savoir la destination de chacun de son côté que l'on pourrait consulter ?
C'est quand même assez étrange que pour GILSON son frère avec qui il vivait ait été évacué mais lui pas de trace.
Et pour CHENOT même chose c'est étrange que pour un de ses fils avec qui il vivait on trouve une trace sur les réfugiées mais pas lui.
Il y a bien une archive quelque part dans une administration mais où ? Là j'arrive à court d'idées. C'est pourquoi je reviens vers vous, peut-être auriez-vous des conseils à me donner par rapport aux évacuées de cette période, où chercher.
Un bon dimanche et bonne semaine à vous
Jessica GILSON
Réponse :
Madame,
Dans vos recherches, il faut maintenant passer une étape :
Il faut, impérativement, se déplacer et consulter les archives départementales de M.-et-M. Rien n’est en ligne.
Dans les archives modernes : 1800-1940
Série R : Affaires Militaires et organismes des temps de guerre.
Dans les archives contemporaines après 1940
Série W : Archives publiques postérieures au 10 juillet 1940.
Dans ces archives, vous trouverez la liste des personnes réfugiées.
Cordialement
Aimé TARNUS
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Question
Bonjour,
Je me présente je suis Mr LAMANT Charles.
J'ai l'honneur d'être le représentant pour l'Europe continentale du clan écossais LAMONT. Des recherches généalogiques m'amènent à vous car je suis sur les traces de ma famille côté français
il semblerait qu'un baron LAMONT de lorraine se serait établie à Longwy. Pouvez-vous m'aiguiller ?
TRES CORDIALEMENT
Charles LAMANT
Réponse :
Monsieur,
Voici ce qu’il y a sur Longwy.
Charles DE LAMONT, chevalier Lieutenant pour sa Majesté au Gouvernement de Longwy, fils de + Robert DE LAMONT et de Marie Marion ARNOUD d’Andily (Charente), épouse le 01/06/1691 Marguerite LEFEBUE, fille de François et de Antoinette POUSSAIN, d’où à Longwy :
1° Philippe né le 10/03/1692
2° Catherine Charlotte née le 06/05/1695
3° Charlotte née le 09/03/1696
4° Paul né le 02/07/1697
5° Marthe née le 11/09/1699
6° Marguerite née le 10/03/1703
A Cosnes :
Naissance le 25/03/1694 de Marie Anne Marguerite DE LAMONT, fille de M. DE LAMONT et de Marie Anne (SAR ou SOR).
Par : PETHE Pierre, fils de Pierre
Mar : Marie Marguerite Anne DELAMONT, fille de la première épouse.
Cordialement
Aimé TARNUS
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Question :
Bonjour Monsieur Tarnus,
Merci pour votre réponse pour laquelle j'ai de la compréhension.
Comme je ne nécessite qu'une confirmation je reviens sur votre suggestion d'aide à la recherche.
Dans la liste des patronymes de 1747-1770 des tomes 1 et 2 des Familles de Longwy figurent les noms :
Bernasco (1), Buechly (2), Karner (1) et Perret (1).
J'aimerais avoir la confirmation que ces citations se réfèrent uniquement aux 2 actes suivants :
1. acte de baptême de Martin Antoine Buechly le 19.9.1749 à Longwy, et,
2. acte de sépulture de Martin Antoine Buechly le 9.2.1750 à Longwy,
et ne concernent pas d'autres inscriptions éventuelles dans les registres ?
Merci d'avance
Meilleures salutations
Georges Kiessel
Réponse :
Monsieur,
Voici ce qu'il y a comme indications dans les livres de familles de Longwy 1747-1770:
BUECHLY Henry, sergent de la compagnie de Diesbache au régiment Suisse de Balthasar
BERNASCO Barbara
1. Martin Antoine
o 19/09/1749 Longwy, 54400
Parrain : KARNER Martin, Lieutenant au régiment Suisse de Balthasar.
Marraine : PERNET Marie Claire.
+ 09/02/1750 Longwy, 54400
Cordialement
Aimé TARNUS
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Question
Bonjour, mesdames et messieurs,
Dans la Liste des patronymes de l'ouvrage (https://genealogie-pays-de-longwy-545.fr/ouvrages/Mont-Saint-Martin.htm) j'ai retrouvé le nom de mon ancêtre.
Le nom de famille TITOFF et le numéro (4) y sont indiqués.
Merci de me dire:
1) quel ensemble de données sur la famille TITOFF je peux obtenir en achetant le livre "Familles du Mont-Saint-Martin" (par exemple, prénom, nom, date de naissance...) et
2) détails pour le paiement par carte bancaire.
Sincèrement,
Angira
Réponse :
Madame,
Voici, seulement, les 4 données qu’il y a dans les livres de familles de Mont-Saint-Martin :
TITOFF Roman, chaudronnier, domicilié à Mt-St-Martin
o 18/06/1900 Egorlytzkaïa, Russie
ILEZYNA Irène
o 05/10/1898 Romanowka, Pologne
1. Pélagie
o Mt-St-Martin, 54350
2. Esv. (enfant sans vie)
o+ 11/11/1931 Mt-St-Martin, 54350
3. Esv. (enfant sans vie)
o+ 26/08/1933 Mt-St-Martin, Hôtel-Dieu, 54350
Notre association ne fait pas payer pour ces quelques indications.
D’autre part, dans notre base de données de plus de 14 millions d’actes, nous retrouvons :
TITOFF Phanas épouse FRIRY Marie Anne le 05/06/1823 à Toul.
Nous avons établi une liste des personnes de nationalité Russe et Polonaise qui ont rejoint la Lorraine.
Nous sommes à votre écoute si vous voulez nous rejoindre dans notre association.
Cordialement
Aimé TARNUS
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Question
Bonjour,
Dans l'ouvrage du curé Jean MUSSEY de Longwy, évoque des tableaux généalogiques pour les familles OULRY et PICART de Fillières. Dans cet ouvrage les tableaux sont inexistants.
Savez-vous s'ils existent et si oui, où les trouver ?
Bien cordialement
Claude Dupré
Réponse :
Monsieur,
Dans l’histoire de la Famille bourgeoise de MUSSEY, nouvelle édition de H. DE DARTEIN de 1898, il y a une indication des arbres généalogiques des OULRY et PICART à la page 195.
Dans mon ouvrage : la Délinquance des Officiers civils, militaires et religieux dans le Pays-Haut lorrain au XVIIème et XVIIIème siècles, j’explique pourquoi Jean MUSSEY, rattrapé par des procès est relégué à Epernay par ordre du Roi en septembre 1707.
A la suite, il y a un inventaire des papiers et des biens de l’abbé.
Dans cet inventaire, il y a les deux arbres que vous recherchez.
Une partie des papiers, dont ce que vous recherchez, à été retiré de cet inventaire par un particulier.
Maintenant, ces documents sont conservés aux Archives du Royaume à Arlon.
Sous la côte : ‘Cartulaire de MUSSET’, à consulter sur place.
Vous trouverez les deux arbres au folio N° 118 dans le tome 1.
Cordialement
Aimé TARNUS
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Question :
Bonjour,
Mon père Robert ZAVAGLIA est né à Longlaville le 18/09/1927.
Il s’est appelé Robert MARGUERON jusqu’au 8/11/1927 puis ZAVAGLIA.
Sa mère, ma grand-mère, Marguerite MARGUERON est née à Longlaville le 21/01/1901.
Elle est décédée à l’Hôpital Villemin de Nancy le 4/05/1929 à 28 ans. Ma grand-mère a été inhumée au Cimetière Sud de Nancy un 1ère fois à son décès.
Puis à nouveau le 4/08/1930 avec Robert MARGUERON (26 ans) décédé le 1/08/1930.
Par la suite, le 11 Avril 1952, ils ont été transférés à l’Ossuaire du cimetière.
Était-ce son frère ?
Mon père s’est appelé à l’identique pendant 51 jours avant d’être reconnu par mon grand-père
Secondo Pietro ZAVAGLIA.
J’aimerai savoir qui était Robert MARGUERON inhumé dans la tombe de ma grand-mère.
Il avait 26 ans en 1930, probablement né en 1904, 3 ans après Marguerite.
Et si il y a encore à Longlaville des descendants de ma grand-mère Marguerite MARGUERON.
Ci-joint à la suite de ce mail, actes de naissance de :
- Marguerite MARGUERON
- Robert ZAVAGLIA
- Registre inhumations Cimetière Sud de Nancy de Marguerite et Robert MARGUERON
Je vous remercie.
Bonne journée.
Bérengère ZAVAGLIA
Réponse :
Madame,
Voici ce qu’il y a dans les livres de familles de Longlaville :
- MARGUERON François, lamineur
o vers 1873
LECLERC Angèle
o vers 1879
1. Marguerite, enfant naturelle
o 20/01/1901 Longlaville, 54810
+ 04/05/1929 Nancy, 54000
x ZAVAGLIA Secondo Pietro
2. Robert Henri
o 27/02/1905 Longlaville, 54810
x JODELET Camille
- MARGUERON Robert Henri
fils de MARGUERON François et LECLERC Angèle
o 27/02/1905 Longlaville, enfant naturel, reconnu par le père à la naissance.
Témoins : - GRANGE Léon, 30 ans, lamineur.
- CHALMANDRIER Jules, 30 ans, coiffeur.
x Réhon, 54430
JODELET Camille
- ZAVAGLIA Domenico
CASALI Theodolina
1. Angelo, machiniste
o 09/02/1900 Longiano, 47020, Italie
x PONZONI Santina
- ZAVAGLIA Secondo Pietro, machiniste
o 28/10/1899 Longiano, 47020, Italie
MARGUERON Marguerite, enfant naturelle
fille de MARGUERON François et LECLERC Angèle
o 20/01/1901 Longlaville, 54810, reconnue par le père à la naissance.
Témoins : - KOHLER Jacob, 41 ans, manœuvre.
- DUMONT Auguste, 27 ans, maçon.
+ 04/05/1929 Nancy, 54000, déclaration faite par le père.
Acte de décès transcrit, le 29 mai 1929.
1. Mireille Mafalda, enfant naturelle, reconnue par le père à la naissance
o Longlaville, 54810, légitimée au mariage de ses parents.
Témoins : - BERTOLOTTI Lucie, sans profession.
- AUBRY Jeanne, sans profession.
+ 09/10/1927 Mont-Saint-Martin, acte de + transcrit, le 20 octobre 1927.
Déclaration faite par DURANTON Jules, 53 ans, économe, de Mt-St-Martin
2. Robert, enfant naturel
o Longlaville, 54810
+ 01/05/2001 Châlons-en-Champagne, 51000
x PERNAUT Yvette Fernande
- ZAVAGLIA Angelo, machiniste
fils de ZAVAGLIA Domenico et CASALI Theodolina
o 09/02/1900 Longiano, 47020, Italie
x Longlaville, 54810
Témoins : - MOLINARI Ernesto, ajusteur, domicilié à Mont-Saint-Martin.
- VENTURINI Arturo, machiniste, domicilié à Mont-Saint-Martin.
PONZONI Santina
fille de PONZONI Emilio et PORTESANI Régina
o 28/10/1899 Sospiro, 26048
1. Fernande Yvonne, enfant naturelle, reconnue par la mère à Longlaville
o Longwy, 54400
2. Ugo Ernest, enfant naturel
o Longlaville, 54810
+ 15/08/2011 La Tronche, 38700
x MAUVE Suzanne Marie Madeleine
3. Silvana
o Longlaville, 54810
+ 06/11/2012 Echirolles, 38130
x CHAFFARD Paul Jules
- ZAVAGLIA Césare, pontonnier
o 28/08/1902 Longiano, 47020, Italie
DEL VECCHIO Maria
o 26/06/1907 Montiano, 47020, Italie
1. Adrien
o Longlaville, 54810, déclaration faite par le père.
- ZAVAGLIA Ugo Ernest, enfant nat., reconnu par le père à la naissance
fils de et PONZONI Santina
o Longlaville, 54810, reconnu par la mère, légitimé au mariage de ses parents.
+ 15/08/2011 La Tronche, 38700
x Grenoble, 38000
MAUVE Suzanne Marie Madeleine
- ZAVAGLIA Robert, enfant nat., reconnu par le père et la mère
fils de ZAVAGLIA Secondo Pietro et +MARGUERON Marguerite
o Longlaville, 54810, légitimé au mariage de ses parents.
Déclaration faite par HANEN Adélaïde Julienne, sage-femme.
+ 01/05/2001 Châlons-en-Champagne, 51000
x Lexy Ou Sivry
PERNAUT Yvette Fernande
Cordialement
Aimé TARNUS
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Question:
Bonjour
Je voudrais savoir s'il existe des archives de l'hospice de Longwy car je recherche Bôme Philippe abandonné vers 6 ans (1862) par mon ancêtre Baum Mathis (j'en suis sûr) et confié à l'hospice car handicapé. Je sais qu'il est handicapé car sur son livret militaire il est exempté de service. je pers sa trace par la suite. Je voudrais trouvé son dossier mais aux archives ils me disent qu’ils n’ont rien.
je voudrais savoir s'il existe des archives de police de cette époque sur Villers la montagne ou Briey là ou Mathis est arrêté et condamné.
Merci d'avance de votre aide
cordialement
sara
Réponse :
Madame,
Pouvez-vous m’en dire plus sur BAUM Mathis et de son fils Philippe ?
J’ai recherché dans les archives des hospices et des hôpitaux du Pays-Haut, je n’ai rien trouvé.
Mais je n’ai pas fait les archives judiciaires et les archives des abandons d’enfants.
Cordialement
Aimé TARNUS
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